Y néééééééééége !
Eh voui, l'Europe est sous la neige. Ici ou là, les précipitations ont été relativement importantes. Mais bien souvent quelques petits centimètres paralysent la vie d'une cité.
Je suis né à La Tchaux, citée de quarante mille habitants située à mille mètres sur mer. Et là crois-moi on avait des hivers qui étaient des hivers et qui duraient de quatre à six mois. Eh vi. Alors la neige en ville je connais, et même bien.
Quand j'étais loupiot, en allant à l'école tous les jours, bien souvent on se mettait debout ou assis sur le chasse-neige. A l'époque, le chasse-neige était composé d'un triangle en bois tiré par deux chevaux.
Là c'était dans les environs, et le pôv gnière était solo, pas d'gamins pour faire du poids.
Ici mon blogpoteur Pierrot, un homme de grande stature, compare avec les tas de neige sur ces côtés.
http://hillerhodan.canalblog.com/archives/2009/01/12/12011615.html
Je suis né dans la maison de gauche, et dans celle de droite j'y ai habité. Les tas de neige étaient si hauts que je pouvais sauter sans risque depuis la fenêtre du premier étage. Les rues principales, où circulaient un tram, étaient déblayées par de forts engins en général attribués au Col de la Vue des Alpes. Mais à l'époque il n'y avait pas les moyens d'évacuation comme maintenant. D'énormes tas se formaient sur les trottoirs. Les commerçants qui voulaient laisser un accès à leurs boutiques, devaient ménager un tunnel sous le tas, et tous les soirs ils en arrosaient la voûte pour garantir une sécurité.
Quelques unes de mes photos.
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Tiens Jonquille t'es encore pas partie ? Ah c'est samedi.
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