Après-demain
Tu sais quoi ? Ben il est sorti d'l'hostio vendredi l'Mickey. Retour à casa pis sa Dany ben elle est en vacances à Pétaouchnock. Bon y va contre péter tout à l'heure dans les comm's, tu liras hein ?
Bon, à moi, c'est mon Blog tout d'même non d'une pipe en bois. Alors allons-y gaiement dans la plus belle des allégresse. Tiens la Négresse, ça m'a fait penser à DSK, tu connais la dernière sur c'gaillard ? Dominique Schtrousse K-Anne
Dis woar dans deux jours c'est la Saint Nico, ben non pas çui là, l'autre tout en rouge. Va falloir que ch'pense à mettre mes cafignons d'vant l'frigo, si non j'devrai m'servir tout seul. Bon en route ! Mé nan, pas sur un baudet, nanan on démarre au troquet du coin.
Deux vieux sont au bistrot en train de boire un coup.
L'un dit :
- Si tu avais le choix entre deux maladies, tu choisirais Alzheimer ou Parkinson ?
L'autre répond :
- Je prendrais Alzheimer, je préfère oublier de payer plutôt que de renverser mon verre.
Bill travaillait dans une usine de cornichons.
Il y travaillait depuis plusieurs années, quand un soir il rentre chez lui, et confesse à sa femme qu'il a une tentation terrible : il a envie de mettre son pénis dans la découpeuse de cornichons.
Sa femme lui suggère d'aller voir un thérapeute pour en parler, mais Bill déclare qu'il serait trop embarrassé. Il jure de combattre cette tentation seul.
Quelques semaines plus tard, Bill rentre chez lui.
Sa femme voit tout de suite que quelque chose ne va pas.
- Qu'est-ce qui ne va pas Bill ?, demande-t-elle.
- Tu te souviens de mon fantasme à propos de la découpeuse de cornichons ?
- Oh, non Bill, tu n'as pas...
- Si.
- Mon Dieu Bill que s'est il passé ?
- J'ai été viré.
- Non, je veux dire, que s'est il passé avec la découpeuse ?
- Elle aussi été virée...
Allo, chéri, tu es au hammam ?
- Oui, ma chérie.
- Chéri, tu ne vas pas me croire, je suis devant un magasin de fourrures. Chéri, ils ont un vison ! Magnifique, de toute beauté, à un prix. Incroyable !
- Combien le vison, ma chérie ?
- Donné, mon amour, donné. 7000 Euros. Tu te rends compte ?
- Mais tu en as déjà des manteaux ma chérie !
- S'il te plaît, chéri, il est vraiment... Superbe !
- OK, OK. Vas-y, achète-le, ton vison !
- Oh, merci mon amour, dis, je ne veux pas t'embêter, mais tu sais, en passant devant le concessionnaire Mercedes tout à l'heure, j'ai vu leur dernier coupé. Il est beau ! Magnifique. En plus, j'ai parlé au vendeur, celui en exposition est tout neuf, intérieur cuir, peinture dorée... Je ne veux pas abuser de ta gentillesse, mais qu'en penses-tu ?
- Chérie, tu exagères, on a déjà des voitures !
- Tu m'avais promis un jour qu'on aurait un coupé !
- Combien, la voiture, ma chérie ?
- Tu ne vas pas me croire, mon chéri, ils nous la laissent à seulement 100 000 Euros, avec toutes les options !
- Bon, OK, OK, on a de l'argent, vas-y... Prend-la ta voiture !
- Mon amour, je t'aime, c'est merveilleux la vie avec toi ! Dis, j'abuse, mais tu te souviens de notre petit voyage sur la côte d'azur ? Tu te rappelles la maison des Cohen avec la piscine, le tennis ? Tu sais qu'elle est en vente ? Je l'ai vue en passant devant l'agence ! Et si on l'achetait pour avoir un pied-à-terre dans le sud ?
- J'y avais pensé déjà, oui ! Tu me dis qu'elle est en vente ?
- C'est vrai, chéri, tu y as pensé ? Je peux vraiment aller à l'agence ? Tu sais, elle n'est vraiment pas très chère, et quelle classe !
- Combien elle vaut ?
- Ils l'ont affichée à 4,2 millions, mon amour !
- Bon, tu y vas, de toute façon, j'ai de l'argent, autant le dépenser. Mais pas plus de 4 millions !
- Mon amour, c'est le plus beau jour de ma vie ! Tu es merveilleux, je t'aime, vivement ce soir !
- À ce soir, ma chérie.
Le gars raccroche, lève la main et crie :
- Il est à qui ce portable ?
Un ventriloque qui fait la tournée des clubs, s'arrête dans une petite ville pour une représentation.
Il commence son show en racontant des blagues sur les blondes, quand une très belle jeune femme blonde se lève et hurle :
- J'en ai assez de vos blagues stupides sur les blondes, enfoiré ! Qu'est ce qui vous permet de stéréotyper les femmes de cette façon ?
Quel rapport peut avoir la couleur de cheveux d'une personne avec sa personnalité et son esprit ?
Ce sont de pauvres gens comme vous qui empêchent des femmes comme moi d'être respectée professionnellement et humainement. A cause de vous et de vos préjugés les gens continuent de répandre ce genre de légende. Vous êtes un retardé pathétique et ce que vous faites est non seulement contraire à la loi sur la discrimination de tout pays civilisé mais également extrêmement offensant pour toute personne sensible au respect de l’homme en général. Vous devriez en mourir de honte !
L'homme commence à bafouiller des excuses, quand la blonde l'interrompt :
- Vous... restez en dehors de ça ! Je parle au petit monsieur qui est assis sur vos genoux !
Dan était célibataire.
Il vivait avec son père et travaillait pour l'entreprise familiale.
Quand il réalisa qu'il allait hériter de la fortune de son père malade
il décida qu'il devait trouver une femme pour partager sa fortune.
À une soirée d'affaires, il remarqua la plus belle femme qu'il aie jamais vue.
Sa beauté naturelle lui coupait le souffle : il s'approcha d'elle et lui murmura:
" J'ai peut-être l'air d'un homme ordinaire, mais d'ici quelques semaines mon père va mourir et j'hériterai de 200 millions ?. "
Impressionnée, la femme demanda sa carte de visite et, trois jours plus tard ...
elle épousa... le père malade...
Moralité : Les femmes sont bien meilleures que les hommes en planification financière.
Une femme, la cinquantaine bien tassée, se regarde dans le miroir.
Elle a beau se tirer la peau des tempes, des pommettes, du cou..., rien n'y fait, les rides ne partent pas.
L'air désespérée, elle se retourne vers son mari et lui dit :
" Je me trouve moche, vieille et laide. Ça ne va pas du tout, il faut que tu me remontes le moral... Dis-moi un compliment !
- Tu as une bonne vue, ma chérie... "
Une jeune femme, qui porte une petite jupe ultra serrée, prend le bus, et pour cela, il lui faut monter les marches.
Le problème est bien là, la jupe est tellement serrée que qu'elle n'arrive pas à les enjamber. Alors elle porte la main derrière elle et baisse la fermeture éclair.
Elle essaie encore d'enjamber, mais n'y parvient toujours pas, elle repasse une main derrière elle et abaisse encore la fermeture. Ensuite elle réessaie de franchir les marches, ça ne veut toujours pas passer.
Alors, au moment où elle s'apprête à rejouer de la fermeture éclair, une paire de mains vigoureuses l'empoigne à la taille et la porte jusqu'à la marche supérieure du bus !
- Non mais, ça ne va pas ! Qui vous a permit ? demande la jeune femme au gars derrière elle.
- Eh bien, la deuxième fois que vous avez baissé ma braguette, je me suis dit qu'on se connaissait suffisamment !
H-IL te souhaite un tout BonDim
Et à Mardi sur l'Jaune