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Les Voyages d'H-IL
18 août 2013

Patchwork médico-humoristique

Merci pour tous vos commentaires. J'apprécie votre sollicitude et en suis touché. C'est beau la Blogosphère et tous ces contacts virtuels. Et merci aussi aux celles et ceusses qui m'ont lancé un coup de fil.

Donc lundi passé, mon médecin généraliste a téléphoné au chirurgien, qui reprenait le travail après ses vacances, à huit heures pétantes. Ben ch'te jure qu'il a dit trois fois merde et même plus. Ce qui fait qu'à huit heures et vingt minutes, j'avais un RDV pour l'apm. Ça barde quand ça veut !

Prochaine OP le 26 août à 14h. Hospitalisation prévue une semaine. L'OP consistera à changer le cotyle, cette pière métallique dans le bassin qui recevra la tête du faux fémure.

Cotyle

On la voit bien ci-dessous

 

9-Luxation

Bon ben ch'suis toujours enserré dans cette attelle qui me fait mal et qui m'empêche de marcher normalement. J'espère pas me casser la hure à cause d'elle. On dirait le Capitaine Jambe de Bois, des romans, et pas des Romands, d'aventure avec pirates et corsaires.

 

1-Attèle (1)

Mais je me dit qu'il vaut mieux ressembler au Capitaine Jambe de Bois qu'au Capitaine Crochet. Ça fait moins mal le matin quand tu te grattes les couilles.

Merde, merde et remerde ! Hier matin, troisième luxation. Trajet habituel en ambulance. Je sature grave.

Mon état incofortable fait que je répondrai brièvement à vos comm's, mais ne vous visiterai pas, c'est vraiment trop pénible, mais je reviendrai t'en fais pas

 


 

Félicitations !

Pis nous alors, pour le même bail, on a droit à quoi

 

H-IL  M-J Nurse 30

  


 

 

Pis quelques goguinettes

 

C’est le Marcel et la Germaine qui débarquent à Paris pour le salon de l’agriculture. Germaine veut en profiter pour faire ses emplettes chez Tati.

Là, elle essaye un très joli short comme on en trouve pas ailleurs, mais hélas impossible de rentrer dedans. Elle essaye un chouette bermuda élastique, mais malgré tous ses effort… c’est pas sa taille.

Le Marcel, qui a toujours un mot gentil pour sa pépette :
- Tu trouveras rien… t’as le cul large comme une batteuse !

Après une journée bien remplie, ils se retrouvent à l’hôtel. Comme il a une petite envie le bonhomme commence à tripoter sa Germaine, qui se retourne en disant :
- Tu ne penses pas que j’vais mettre la batteuse en route pour un si petit épi ?

 

 

 

Un jour j’ai rencontré un gentil Monsieur et nous sommes tombés amoureux. Nous devions nous marier, alors j’ai cessé de manger mon plat préféré… Les fèves au lard.

Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne sur le retour pour la maison. J’ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard, car il me fallait marcher jusqu’à la maison.

En marchant, je passe devant un petit resto d’où émane une odeur de fèves au lard à laquelle je ne peux résister. Vu les kilomètres qu’il me reste à marcher, je me dis que les « effets » seraient sûrement passés avant d’arriver à la maison. Alors je m’arrête et, sans m’en apercevoir, j’avais bouffé trois grandes portions de fèves au lard.

A mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déjà rentré, tout excité de me voir et qui s’exclame: « Chérie, j’ai une surprise pour le souper ce soir ».

Alors il met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à table. En m’asseyant, le téléphone sonne juste comme il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher avant qu’il ne revienne et va répondre.

Les fèves que j’avais avalées me faisaient toujours effet (du tonnerre) et la pression devient intenable; alors mon mari n’étant pas dans la pièce, j’en ai profitai. Je bougeai mon poids sur une jambe et en échappai un. Non seulement il était bruyant, mais l’odeur était comme celle d’un camion de rebuts passant sur une mouffette !

Je pris ma serviette de table pour faire circuler l’air autour de moi vigoureusement. Balançant mon poids sur l’autre jambe, j’en évacuai trois de plus. L’odeur était pire que le chou cuit.

Attentive à la conversation de mon mari dans l’autre pièce, je continuai ainsi durant quelques minutes. Le plaisir était indescriptible. Alors que les salutations au téléphone signalaient la fin de ma liberté, de nouveau j’aérai autour de moi avec ma serviette, la replaçai sur mes genoux et me croisai les mains, soulagée et fière de moi.

Mon visage reflétait l’innocence au retour de mon mari qui s’excusa d’avoir été aussi long. Il me demanda si j’avais triché et regarda autour de lui; je lui assurai que non.

C’est alors qu’il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table crièrent en chœur:

« Bon Anniversaire ! »

 

 

 

Dans un cabinet d'avocats, la standardiste répond au téléphone :

- Ici le cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.

- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson?

- Ah, je suis désolée mais maître Wesson est décédé hier...

Là-dessus, la personne à l'autre bout du fil raccroche directement.

Dix secondes plus tard :

- Ici le cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.

- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson ?

- Je suis désolée mais maître Wesson est décédé hier...

Là-dessus, la personne à l'autre bout du fil raccroche aussi sec.

Dix secondes plus tard :

- Cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.

- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson ?

(la standardiste reconnaît la voix cette fois-ci) :

- Madame, cela fait déjà deux fois que je vous dis que maître Wesson est décédé hier... Je pense que vous avez compris maintenant.

- Oh oui oui, j'ai très bien compris. Mais j'aime tellement vous entendre m'annoncer cette nouvelle.

 

 

 

LETTRE D'UNE MÈRE À SON FILS...

Cher fils, 

Je t'écris ces lignes pour que tu saches que je t'écris. Alors, si tu reçois cette lettre, c'est qu'elle est bien arrivée. Si tu ne la reçois pas, tu me préviens pour que je te la renvoie. Je t'écris lentement parce que je sais que tu ne lis pas très vite. 

L'autre jour, ton père a lu que selon les enquêtes la plupart des accidents arrivent à 1 km de la maison, ainsi nous nous sommes décidés à déménager plus loin. La maison est superbe ; elle a une machine à laver, mais je ne suis pas sûre qu'elle fonctionne. Hier, j'ai mis le linge dedans, j'ai tiré la chasse et je n'ai plus revu le linge depuis, mais bon. 

Le temps ici n'est pas trop mauvais. La semaine dernière il a plu seulement deux fois. La première fois, la pluie a duré 3 jours, la deuxième 4. 

A propos de la veste que tu voulais, ton oncle Pierre m'a dit que si nous te l'envoyions avec les boutons, comme ils sont lourds, ça coûterait plus cher ; alors, nous avons enlevé les boutons et les avons mis dans la poche. 

Nous avons enfin enterré ton grand-père ; nous avons trouvé son corps lors du déménagement. Il était dans l'armoire depuis le jour où il a gagné en jouant à cache-cache. 

Je te raconte que l'autre jour, il y a eu une explosion à gaz dans la cuisine, et ton père et moi sommes sortis propulsés dans l'air au dehors de la maison ; quelle émotion ! C'est la première fois que ton père et moi sortons ensemble depuis des années. 

Le médecin est venu à la maison pour voir si nous étions bien et il m'as mis un tube en verre dans la bouche. Il m'a dit de la fermer pendant 10 minutes, ton père lui a proposé de lui racheter le tube. 

Et puisqu'on parle de ton père, je t'annonce qu'il a du travail, il en est fière, il travaille au-dessus d'à peu près 500 personnes. Ils l'ont pris pour couper le gazon dans le cimetière. 

Ta sœur Julie, celle qui s'est mariée avec son mari, elle a enfin mis au monde, mais on ne sait pas encore le sexe, je ne saurais pas te dire si tu es oncle ou tante. 

Ton père a demandé à ta sœur Lucie si elle est enceinte, elle lui a dit que oui, de 5 mois déjà ; mais là, ton père a demandé si elle était sûre qu'il était d'elle. Lucie lui a dit que oui. Quelle fille solide, quelle fierté, tel père, telle fille. 

Ton cousin Paul s'est marié et il prie tous les jours devant sa femme, parce qu'elle est vierge. 

Par contre, on n'a plus revu l'oncle Isidore, celui qui est mort l'année dernière. 

Ton chien Pouky nous inquiète, il continue à poursuivre les voitures à l'arrêt. 

Mais ton frère Jeannot, c'est pire. Il a fermé la voiture et il a laissé les clefs à l'intérieur. Il a dû aller chez lui chercher le double pour pouvoir nous sortir tous de là. 

Bon, mon fils, je ne t'écris pas l'adresse sur la lettre, je ne la connais pas. En fait, la dernière famille qui a habité ici est partie avec les numéros pour les remettre dans leur nouveau domicile. Si tu vois Marguerite, passe-lui le bonjour. Si tu ne la vois pas, ne lui dis rien. 

 

Ta mère qui t'adore 

Antoinette 


Et nos humoriste romands, François Silvant, Madame Pahud

 

H-IL te souhaite un BonDim

Prochain article, Jeudi sur le Jaune

Mais va dire bonjour à ma Copinaute Josette qui est perdue sans son PC, je lui lirai les comm's au réléphone

Son lien ICI

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Commentaires
C
Bonne journée à tous les deux mes amis... qu'est-ce que tu dis un vieux lapin rhumatisant.. ne dit-on pas que c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe? lol..<br /> <br /> tout plein de bisous et garde le Cap H-Il tout va bien se passer.<br /> <br /> chatou
C
Allez H-Il plus que quelques jours à attendre et tu seras tout neuf! après tu vas courir comme un lapin.. je vous souhaite une bonne nuit à tous les deux<br /> <br /> gros bisous<br /> <br /> chatou
A
Je vois, une petite réparation en perspective....<br /> <br /> Bon courage et gros bisous
C
Plus que deux jours à tenir mon chéri, et c'est gagné!!!! <br /> <br /> Allez, tu es fort! Gros gros bisous tout partout (oui, je sais, je suis gourmande!) et puis t'oublie pas d'en donner à ma Jonquille
N
Bonjour H-Il<br /> <br /> Oui tout va bien chez nous pour le moment, j'espère qu'il en est de même pour vous malgré ce que tu dois subir, mais je suis de tout coeur avec toi.<br /> <br /> Nous attendons les vacances car pour le moment je garde mes petits enfants ce qui n'est pas de tout repos.<br /> <br /> Je vous souhaite une bonne journée je vous envoie de gros bisous à tout les deux
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