A travers la fenêtre
Ouais j'aurais aussi bien pu titrer cet article "au coin du feu". Pétard de pétard, ceux qui me connaissent peuvent traduire par putain de putain, quel sale temps on se manie pendant cet été. Y parait que c'est le réchauffement climatique. Ben ch'préférais nettement quand y faisait froid, au moins on avait chaud.
En cherchant bien on voit de là neige là-haut
Un château perdu dans le brouillard
Les tomates s'éclatent sous la pluie
Les hémorales son trempes
Les platycodons font la gueule
Et s'affalent sous le poids de l'eau
Une fraise se gorge d'eau
Une rose résiste
D'autres se fanent
Mais tout d'un coup, un coup de soleil le samedi Douze
Le Dauberhorn est tout blanc
Limite de la neige, dix-huit cents mètres
A Jeudi sous le soleil qu'y disent